
1st
album 05 (D.U.K.E. 024)
CONTENTS
[ Total : 8 in french ]
|
|
|
|
|
|
|
|
|

OSIRION
: " HAR SABBAT "
Un
premier album qui fais dors et déjà d'OSIRION l'un des
grands noms de la scène black hexagonale et européenne
de demain !!!
Le groupe y concilie à merveille la puissance de sa dernière
démo (" Evil made history "), et la froideur de ses
premiers méfaits
et tout en nous collant au mur avec la
puissance d'un BLACK METAL haineux rappelant DARK FUNERAL, IMPALED NAZARENE
(Killerrr cover de " Sadhu Satana " !!!), OSIRION sait également
nous faire headbanguer comme des déments à l'aide de passages
bien " catchy " que ne renieraient pas des gangs comme WITCHERY
ou le mythique BARATHRUM !!!
so
rajoutez à ça
une " french touch " bien marquée à la "
old SETH ", DARVULIA, OLD SINNSIR and Cie, quelques ambiances que
ne renieraient pas Fenriz et Nocturno Culto, une batterie façon
charge de Panzers
et une production pour le moins énôôôôôrme
!!!
Et je vous le dis et le redis
Voilà un putain
d'album qui va faire parler de lui dans les mois à venir !!!
OSIRION est GRAND
très GRAND !!!
.
By
Kurgan, in catalogue n°9 de D.U.K.E. (Apr 2004 a.s.)

Fervents
défenseurs de lidéologie underground culte du black
métal, la horde noire de Osirion vient de nouveau sonner le glas
pour enfanter un tout nouvel opus susnommé « Har Sabbat
».
Bien
que la formation ait connu à sas débuts beaucoup de jasements
sur sa musique et ses activités parallèles (webzine),
nous pouvons affirmer aujourdhui que cette époque est belle
et bien révolue et que le sapaudiae black métal dOsirion
jette lopprobre sur ces médisants. Après leur talentueux
« Evil made history » et la réédition de leur
démo « An opus for Lucifer », Osirion nous présente
ici une production soignée, signée chez le petit Label
Duke
une galette que nous attendions depuis si longtemps, parole
de fan !
Osirion,
par le passé, a, comme beaucoup de groupes de black, été
victime des médiocrités sonores qui sont légions
dans les démos. Pour un premier album, ce « Har sabbat
» démontre un réel travail de sonorisation et même
si le côté métal zone manque de puissance, on se
délecte tout au long de lécoute de lopus :
9 titres plus une intro et une ghost track !
Une
galette superbement efficace, des riffs originaux, des plans bien forgés
adéquats pour headbanger. ( nb : on contemple même un plan
à la loudblast sur le morceau « ave Jesus »). Je
mettrai un point dhonneur sur la batterie implacable de Barbiturik
et sur le chant suprême de Valharik. (Parfois lanimal est
doublé de voix claires, un régal pour les amateurs dambiances
glaciales !) Les curieux seront peut être déroutés
à la lecture des lyrics, des morceaux comme « Ultime assaut
» présente des textes qui ne fonctionne efficacement quavec
la musique, cest dailleurs un excellent titre, entraînant
et revigorant ! Digne dune vraie marche militaire. On notera un
cover infernal de « Sadhu Satana » de Impaled Nazarene,
à déguster muni dun masque à gaz et dune
bouteille de jack !
Le
layout présente des illustrations sans risque, mais qui font
leur effets (signé Kurgan et JP Dufour.)
47
minutes de black métal intense sans concession et dépourvu
dartifice déplorables !
même si Osirion cultive
une image « true » underground, on contemple ici, un album
de maturité, sérieux et recherché ! Une belle formation
à surveiller de très très prêt !
« Destroy the monotheist Plague - Became your own god !
» Lord Turannos
By
AleXXX, in SIX-XX Webzine . (May 2004 a.s.)

Après
leur démo 'Evil Made History', qui était pas trop mal
foutue, les Savoyards d'Osirion sont de retour avec leur premier album
de black underground, à savoir 'Har Sabbat'. Et j'ai bien l'impression
que les derniers changements de line-up ont eu de gros impact sur la
façon de composer du quatuor. En effet, autant avant Osirion
avait une touche assez personnelle quoique pas trop éloignée
de l'école Scandinave, autant 'Har Sabbat' perd en originalité
et se retrouve beaucoup plus proche de la scène Franco-Belgo-Hollandaise
Disons pour faire clair que cet album m'évoque beaucoup plus
les débuts de groupes de black tels que Seth, Enthroned ou encore
Cirith Gorgor, avec des grattes mélangeant allègrement
heavy/thrash et black, et un chant criard Français ou Anglais.
Sinon, ça reste de l'autoproduction, avec une production plus
que limite et vraiment pas costaud, même si le son général
est d'assez bonne qualité. Mais ça manque de pêche
et ça ne peut qu'avoir un mauvais impact sur le tout. On notera
sinon que le batteur assure pas mal derrière ses fûts,
et au final, 'Har Sabbat' est un album qui montre qu'Osirion a du potentiel,
mais qu'ils ont encore pas mal de boulot à faire pour sortir
quelque chose de marquant
By
Thomas Bonnicel, in TRANSITMAG # 31. (June 2004 a.s.)

J'ai entre les mains et dans les oreilles le
premier assaut d'Osirion. Qu'est-il sorti du quatuor métallique
depuis « Evil Made History », leur deuxième démo
? Lisez ce qui suit et que bien du mal vous en fasse !
Osirion
continue dans sa lancée ; privilégier le côté
métal de son black, pour le moins musicalement. Effectivement
le groupe semble avoir évolué vers une musique plus rageuse
et rythmée, notamment grâce au batteur génétiquement
modifié, sans oublié qu'ici le joug tyrannique du leader
a été desserré pour libérer les impulsions
des autres musiciens. Ce qui en somme à apporté plus de
violence et de riffs torturés à l'ensemble. Les titres
ayant toujours une base noire, c'est dans les arrangements que l'on
passera du Heavy au Thrash sans difficultés et avec homogénéité.
Dans cette optique l'on devine facilement que les neufs morceaux (sur
11) ont-été taillés pour la scène plus que
pour un voyage introspectif, quoique... Cela nous rapproche du concept
de l'album qui est relativement commun, c'est-à-dire satanique,
guerrier et morbide, mais qui à le mérite d'être
bien écrit, contrairement à pas mal d'autres groupes.
Malgré, bon gré, ces thèmes récurrents,
que pour ma part j'apprécie grandement, sont mêlés
à d'autres textes plus originaux comme une approche personnelle
de Napoléon, du roman Dune, ou du personnage de Lautréamont.
Quant à l'artwork, bien que la cover n'incite clairement pas
à l'achat, il est particulièrement immersif.
Bref,
voici une très bonne production (hé oui, un son quasi
pro), pour les âmes tourmentées en manque de musique violente
et rude ! Dispo dans vos distro locales.
By
Cru-vi-fix, in La Horde Noire webzine. (June 2004 a.s.)

Rien
qu'à la pochette le ton est donné. Vous êtes accueilli
par une espèce de gargouille et, à l'intérieur,
une femme nue et un démon sont enlacés. Bienvenue en Enfer
! L'intro ("Les grandes lèvres du vagin d'ombre") vous
laisse une impression planante, ritualiste. Mais juste une impression,
cassée par le second titre aux riffs efficaces et une batterie
bien balancée. En clair, c'est du pur Osirion à quoi nous
avons droit. Plus les morceaux défilent, plus le rythme s'insinue
en vous et vous entraîne dans les méandres d'une noirceur
sans fond. Le chant s'infiltre en vous comme une dose de lithium, vous
laissant ces drôles d'impressions. Ah, vive les associations Osirion/
D.U.K.E. La conclusion est au groupe : "Destroy the monotheist
plague... Became your own God".
By Divina Tenebra, in LA LEGION UG zine # 5 (Aug
05 a.s.)

La
France peut commencer à être fière de sa scène
black metal avec tous les groupes de qualité qui commencent à
sortir du lot des petits groupes underground. Entre Blut aus nord, Belenos,
Crystalium, Deathspell Omega, Nehemah, Eternal Majesty, et bien d'autres,
la France n'a rien à envier à la scène étrangère
en général. Voici donc un petit nouveau qui arrive dans
la cour des grands avec ce 'full lenght album' nommé Har Sabbat.
Osirion officie depuis 2001 et a sorti pour l'instant 2 démo
et un split avec un groupe français au nom imprononçable
dont les initiales sont Z.B.T.
Maintenant
que les présentations sont faites attaquons nous à la
musique présente sur ce sur Har Sabbat. L'album commence par
une intro plutôt inutile et un peu longue faite de percussion
lointaine
Puis le premier riff de gratte se fait entendre. Et là,
ça rigole plus. Riffs de gratte ultra incisifs pour un black
metal brutal et vindicatif, un peu à l'image du premier album
d'Ad Hominem, pour ceux qui connaissent. Osirion arrive à varier
sa musique en incluant des passages moins rapides avec des riffs plus
péchus ou plus entraînants selon les morceaux. Bien évidemment
la batterie est toujours derrière pour pilonner nos oreilles
à grand renfort de double grosse caisse et autre blast beat.
Le tout est soutenu par une voix bien agressive qui vomit des paroles
blasphématoires et engagées (et écrites en français
accessoirement).
On
sent tout au long des dix morceaux qui composent cet album une haine
bien palpable qui suinte par tous les éléments de la musique
d'Osirion. Même les mélodies renforce ce coté violent
et donnent envie de tuer n'importe quelle personne se présentant
devant nous, ainsi que les quelques vocaux clairs qui donnent un aspect
martial à la musique. Har Sabbat est un album de black metal
hyper efficace, délaissant toute sorte de fioriture, pour se
concentrer sur son unique but : frapper fort. Coté production
elle est bien plus que correcte pour le style pratiqué. Le seul
défaut dont souffre en réalité cet album est que
l'effet " claque dans ta gueule " des premiers morceaux s'estompe
un peu sur la fin de l'album, sans toutefois devenir ennuyeux.
Har Sabbat est au final un bon défouloir qui ravira tous les
amateur de musique violente mais raffinée !
By AVALON, in PAVILLON 666 webzine (Sept. 05 a.s.)

Suite à 2 démos qui leur auront
permis de se faire aisément un nom dans l'underground et d'un
split avec Z'B'T, les savoyards remettent enfin le couvert. Voici leur
tant attendu 1er album et croyez moi, ce skeud va faire très
très mal. D'abord armé d'un son tout simplement infaillible,
massif et très compact, le fauve Osirion prend d'emblée
à la gorge et ne vous lâchera qu'après être
sûr d'avoir converti son auditoire. Ce sont vos cages à
miel qui vont morfler ! C'est comme si le groupe avait taillé
dans la cellulite superflue de son répertoire passé pour
enfin n'en garder que la substantifique moelle, l'efficacité
brute et agressive. Au diable plans bouche-trous et approximations rythmiques,
les riffs sont ici aussi tranchants que jadis dame guillotine faisait
chavirer les têtes. A noter des influences heavy et thrash ultra
convaincantes (l'excellent "Tourmente Hystérique"),
des progrès notables au niveau vocal (passages clairs sur le
poignant "Ave Jesus"), voilà un black-metal old-school
aussi nerveux qu'un cycliste lors d'un contrôle anti-dopage, mais
qui s'écoute sans que l'effet de lassitude ne pointe son vilain
nez. Le char d'assaut Osirion continue son irrémédiable
ascension, je ne voudrais pas être celui qui se trouvera sur sa
route. Traces de chenilles sur la gueule garanties !
in
IN EXTREMIS Newsletter #14 (Sept. 05 a.s.)

Voici donc le premier album de cette formation
de Sapaudiae Black Métal, qui nous avait déjà laissé
de bonnes impressions avec leur dernière démo, chroniquée
dans le chapitre III. Et Osirion continue dans sa lancée. On
reconnaît immédiatement le style du groupe avec ses riffs
percutants, ses mélodies inspirées, pour des compositions
une fois de plus taillées sur mesure pour la scène. On
ne peut s'empêcher de bouger en écoutant les titres qui
s'enchaînent pour notre plus grand bonheur.
Les musiciens sont parfaitement en place, avec les guitares qui nous
tiennent en haleine, la basse qui est bien présente, ainsi qu'un
batteur qui maîtrise de très belle manière son sujet
La voix quant à elle est très bestiale, et on a même
droit à quelques churs, notamment sur le 5e morceau.
En fait la musique de Har Sabbat pourrait se résumer en ces termes
: Rage, Haine et Violence
La production signée Arnaud Ménard
est de très bonne qualité donnant à cette uvre
la puissance nécessaire et dévastatrice pour hisser cet
album sur les plus hautes marches du chaos !!!
Pour ma part, je noterais juste un point faible, avec l'artwork de la
couverture qui ne m'emballe pas plus que ça. Ce qui est d'autant
plus regrettable lorsque l'on sait que ce disque est sorti chez DUKE,
et que l'on connaît les talents d'artiste du maître Kurgan
Mais surtout ne vous arrêtez pas sur ce point, car la musique
d'Osirion vaut vraiment le détour, et mérite toute votre
attention. (M).
By Malphas, in "l'Antre des damnés
zine" #4, sept.05