DEBRIS
DE L'AME HUMAINE
Ainsi
la mort sempara de mon âme
Munissant alors au monde des ténèbres
Me condamnant à mon grand plaisir
A lerrance sur ces terres, rongées par la souffrance
Mengageant
sur ce chemin obscur
Sans aucun regret, tournant le dos à la lumière
Je bus le sang pourri de ceux qui autrefois
Furent mes semblables dans leurs pensées et idéaux
Conscient
du total et évident déclin
De mon appartenance au genre humain
Alors je connu le coté noir de mon âme
Les méandres de la nuit me capturèrent
Pour léternité, éternité
pour servir le chaos
ME
LIBERA SATANAS
THE
NIGHT OF THE PROFANATORS
MISANTHROPIA
ELRICs CURSE
Seventh
Lord of Hell
Hail immortal demon!
For you I ride far beyond the Multi-univers
Plains mountains and seas
I killed in your name
Destroyed my life
For the coming of your domination
To serve you, ELRIC OF MELNIBONEE
Blood
and souls for my Lord ARIOCH
ARIOCH
seventh God of Hell
Give me strength
I killed my love for the glory of chaos
I betrayed my nation
For the coming of your supremacy
Prince of ruins bound by an ancient pact
Fed by soul and power
By my cursed black sword
I
killed for your reign of madness
To challenge the Chronophages
And all the young kingdoms
PANGTANG and all the wicked sorcerers
Ô
CYMORIL forgive me
A
SIGN OF EVIL
DEMETRIOS
POLIORCETE,
Depraved king of Macedon
Fils
du général borgne d'Alexandre
Tu en hérites la soif de puissance
Luxe et stupre t'entourent
Vénère Edon, la vie inimitable
Ton
règne est un jeu de hasard
Le pouvoir te brûle les mains
Nul ne sait où tu peux échoir
A force de narguer le destin!
Les
cités tombent entre tes mains
Tes alliées d'aujourd'hui, de futures ennemies
Ainsi peut tourner le sort des armes
Mais sans relâche tu tisses ta toile
Abandonné,
ruiné, déchu,
Tes mercenaires ont fui
Fui tes ambitions démesurées
Et tes promesses non tenues
Démocratie,
Piété, Patrie
Mots vides pour faibles esprits
N'oublies jamais quoi que tu fasses:
Ne jamais perdre la face!
Sodomie,
blasphème, ivrognerie,
Tout est possible il te faut jouir
Sans retenue sans partage
Pourquoi d'autres prendraient ta place?
TIMUR LANG,
Megalomaniac Lord of Asia
Horsed
plunderer in central Asia,
crippled man
Self-declared offspring
of the great GENGHIS KHAN
Forty
years to conquer
An empire for your grandeur
From Volga to Mediterranean see
From India to Syria
Tyrant
fed by a supreme megalomania
Dream to kneel down the creation
Your reign of steel crushes the motion
You're the feared lord of Asia
Spreading
disease on your way
Victims by millions
You set on fire one half of the world
To anchor your domination
Murder,
plunder, fire, war
Violence, pestilence, ransom, rape
Slavery,
blasphemy, atrocity
Are crowning your supremacyObsessed by the splendour of your
reign
You spare the able carving your glory
A gigantic mausoleum carries
The ephemeral brutality of your name
AVE
JESUS
"Avé Jésus", fils du Dieu
de la secte de Paul, des faibles et égarés
"Avé le Christ", élu du Dieu
Des gentils, des apeurés, des perdants
et humiliés
(choeurs
: Jésus de Nazareth
Fixé sur sa croix
Mourant, réclame à boire
Pardonne à tous, et puis s'en va !)
Agonise, faux prophète
Mais où sont donc tes pouvoirs ?
Tu n'es plus si fier
L'agitateur, le pleurnichard !
"Avé
Jésus", le " Roi des Juifs "
Qui t'enseigna tant de modestie ?
N'oublions pas ce que tu es :
un petit zélote couronné d'épines
Jésus
oisif va-nu-pieds
Préfère vagabonder
Plutôt que d'exercer
T on métier de charpentier
Jésus charlatan
Aveugle la populace
réveillant des morts
Endormant les vivants !
"Avé
Jésus", le galiléen
Dis-nous enfin d'où tu viens
Rejeté par les Hébreux tes pairs
N'es-tu qu'un errant sans terre?
CHANTRE
DE LA POURRITURE
Un monde en pourriture,
Immense et terrible succion,
Surgit de ton cerveau apathique,
Dévoré par les cauchemars.
La très sinistre chambre ou tu gites
S'emplit de mollusques verdâtres,
Qui viennent traîner leur
immondice
Sur tes écrits opiniâtres.
O pederaste insensé,
D' ou vient cette tendresse malsaine
Qui nimbe tes pages désenchantées,
Gorgées de terreur et de haine?
Ironie, beauté et virulence
Pétrissent ton lyrisme acéré,
Et de ces armes tu pourfends
La niaiserie du romantisme échevelé.
Ton corps souffreteux, décharné,
Offre son séjour aux parasites,
Les plus improbables créatures
Viennent ronger tes membres et hanter tes songes.
La vie t'es donnée comme un blessure
Le suicide n'en peut guérir
La térébrante cicatrice:
Laisse toi donc dépérir.
HAR
SABBAT!
De son visage paisible et rond
Hecate éclaire la clairière
lieu choisi par l'Assemblée
Pour l'ultime blasphème envers ledit Dieu !
De partout fut entendu
Le terrifiant appel du Mal
" Har Sabbat! Har Sabbat!
Har Sabbat! Le maître est là ! "
Démons informes et répugnants
Accourent au bras de sorcières hystériques
"Har Sabbat! Har Sabbat!"
Nous connaîtrons
l'abominable mystère !
face à ce bestiaire immonde,
le souverain s'annonce :
bouc velu monstrueux
ses longues cornes pointent aux cieux
Oint
de l'onguent maléfique,
l'assemblée éclaire les cierges noirs
"Har Sabbat! Har Sabbat!"
" Har Sabbat! Le maître est là ! "
Puis vient le baiser de soumission
sur le cul flatulant du démon
"Har Sabbat! Har Sabbat!"
Confessons d'inavouables forfaits !
Venue du couchant
Arrive la jeune vierge
reine du Sabbat
Sur un mouton noir
Prête à subir
Les plus honteux outrages
au cours de la répugnante
communion infernale
Après un festin orgiaque
La débauche prend place
Un frémissement de luxure
Durera sans répit jusqu'au matin
Alors que sont consommés
les vices les plus odieux
apparaissent sournoisement
les premières lueurs de l'aube
Le formidable cri du coq
Clos tout à coup la cérémonie
Nous avons pleinement vécu
l'inoubliable Sabbat !
"Har Sabbat! Le maître est là ! "
"Har Sabbat! Le maître s'en va ! "
LE
VOL DE L AIGLE
Grand
Aigle de Corsica
Vole vers ton destin :
Arrachera de tes serres
les trônes usurpés d' Europa
Au rythme des tambours
Marche la Grande Armée
Son pas cadencé
Fait trembler les dévoyés
Au
son du canon
Avance la Grande Armée
La Grande Révolution
Fait chuter les couronnés
Frappant comme l'éclair
Aigle, fond sur ta proie
Entraînant ta meute ardente
Décime cette clique décadente
Pourtant flétri et chancelant
Le vieil homme respire encore
Se redresse pour frapper l' Aigle
Qui, blessé, doit s'exiler...
100 jours, c'est bien peu de temps
Pour l'Aigle meurtri profondément
Luttant intrépide et flamboyant
Mais décimée, la Garde a reculé !
Une telle fougue a frappé
La mémoire des peuples libérés
Aigle déchu renaît de tes cendres,
Tu es ce phénix de légende.
SADHU
SATANA
(Impaled Nazarene)
Deadblow
overrule the shadows
Masters, spirits, painfuck
Jesus & the scum blown away
Lord and master of hell
Sadhu Satana
Slaughtered,
burned, raped
Satanic N.F. takes over
The law is set by chaosgoat
You obey, you slaves, you die !
Hello
Cunt !
Flames,
blood, damnation
Suffer and bleed for majesty
Satan, master, Lucifer
Majesty of infernal hellkill
FABLE
CHRISTIQUE
En deux millénaires le clergé a forgé
Un sauveur pour aider ses ouailles apeurées :
Mais de son apparence, à sa date de naissance
tout est falsifications et non sens
Juste en pillant de vieilles épopées
Il accouche ainsi d'un livre dit "sacré"
Mise en forme au concile de Nicée,
la fable christique a com-men-cé /débutée
Aucune
trace, aucune preuve
Aucun témoin, rien de divin
Trop de reliques, juteux trafic
Rien ne subsiste de fiable
Hormis dans les imaginations
Jésus n'a jamais existé
Mais par le contrôle des esprits
S'est imposée la fable christique
La
fable décrit des apôtres grégaires
impossibles à nommer ni dénombrer
ils sont devenus soudainement muets
Après la mort de leur divin mentor
Puis Paul l' "Avorton" a bien fantasmé
un Jésus éthéré, mou, et sans
idée
le dotant d'une vie fabuleuse
De paraboles libérant le mer-veil-leux
La très "sainte" Trinité
n'est qu'une vulgaire copie
de la Triade païenne
Adorée par nos ancêtres
La cène est un beau rite
pour nos prêtres alcooliques,
Dévorant leurs hosties
Résurgence d'anthropophagie
Fils d'une vierge et du "Saint esprit"
Une lignée fictive avec le roi David
Une étoile-guide, des rois mages arrivent…
Voici une ascendance fabuleuse mais bien peu crédible
Un chemin de croix totalement inventé
un saint sépulcre tardivement reconstitué
Un linceul bien imité, par la science démonté
L'ossuaire de Jacques, falsifié mais démasqué
Ses
évangiles sont bien peu solides
Mais ne cessent de séduire les masses abruties.
Par la voix de missionnaires zélés
La fable christique peut se propager
Ce messie vit encore aujourd'hui
Dans des millions d'esprits formatés
par cette fable construite sur du vent,
de l'improbable, de l'in-croy-able
Merci
à toi Seigneur Jésus Christ - pour tout le bonheur
que tu nous as promis
Gloire à toi Seigneur Jésus Christ depuis 2000
ans que tu dois revenir !
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JACK, RIPPER OF
WHORES
In
the light, brilliant Lord
You serve the british Crown
In the dark, mad scientist
You make dreadful experiments
Jack
the ripper, of the whores, in your street
Is looking for, a sublime, young victim
Jack, in the dark, watches for you, in your back
In order to fulfil his hellish desires!
A
luxurious caross, driven by four black horses
Scans the grimy asleep suburbs
Searching a specimen of human perverted flesh
You're
the chosen for that doomed mission
You'll find the secret hidden in human soul
In search of the thin line
Between the perfect and the vile
In
your lab, you work late at night
Your scalpel outlines the vital organs
Spilling blood on the wall
Spreading stench in the room
"
QUALIS ARTIFEX PERES! "
(Quel artiste se meurt en toi!)
Descendant
du divin Auguste
Choisi des Dieux, Grand César
Pour un règne sans partage
Un destin d'esthète et philosophe
Aurige
étincelant de mille éclats
Etrille tes adversaires dans l'arène
Sous les roues puissantes de ton char
Ainsi te revient toujours la victoire
Quoi
de plus inimitable
Pour ton inspiration sans tabous
Q'un haut tourbillon de flammes
Léchant la Ville Eternelle?
Révoltes
et complots s'ourdissent
Et la secte chrétienne menace
Ô défenseur de l'hellénisme
Ton bras vengeur va frapper!
... Que justice se fasse...
Mâte
cette aristocratie gâteuse
Ta famille trahit, elle doit payer
Le pays de Yahvé s'est rebellé
Tes légions doivent l'écraser
Génie
seul et incompris
Nul autre choix que de mourir
Ton oeuvre bafouée, ta mémoire salie
Quel artiste se meurt en toi!
.... Ce bas-monde ne te méritais pas...
ULTIME
ASSAUT
Les mains moites la fièvre gagne
Les tempes bourdonnent le cur cogne
Sous la pluie les chairs transies
Les os trempés les pieds gercés
des vapeurs délétères
nous donnent la nausée
Des odeurs de charogne
Nous prennent à la gorge
" Baïonnette au canon "
Gloire à la Nation !
" Baïonnette au canon "
Sans relâche, combattons
Mort d'une génération
Un cri rauque, sifflet strident
L'ordre est lancé :" En avant !"
Franchissons le parapet
et courons droit devant
Comme des rats apeurés
Entre les salves et les cratères dispersés
il faut survivre et tirer le premier!
Une gerbe de feu
pluie d'éclats mortels
une explosion sourde
fumée épaisse et acre
Des débris jonchent
le sol stérile
des lambeaux de chair
rougissent la terre
Mon
élan brisé
Ma volonté chavire
Tout espoir est détruit
Ma vie se consume
Le souffle haletant
l'horizon ravagé
mon esprit s'éteint
dans un dernier râle
Des carcasses humaines
pourrissant au soleil
Accrochées dans les barbelés
et dévorées par des rats affamés
un cauchemar éveillé
pas de tombe pour reposer
ma mémoire, souillée
longtemps viendra vous hanter
" Baîonnette au canon "
Gloire à la Nation !
Sans relâche, combattions
Fin d'une génération
MON POISON DANS
VOS VEINES
Je suis le serpent, tapi dans le sable
qui patiemment attend prêt à mordre
Un fervent croyant de la pureté originelle
pour provoquer sa chute de l'Eden
Je suis la douleur, aiguë et subite,
qui vient de frapper, par ses crochets acérés
Avides de belles saignées, je vais me délecter
du liquide m'ouvrant les portes de l'Eternité
Je suis le poison, Instillé dans vos veines
Qui lentement se répand Engourdissant vos membres
Afin de frapper au cur votre chair
et d'annihiler toute volonté de me résister
Je suis la fièvre qui, d'abord, lancinante
à votre Etre s'étend
au plus profond de votre âme
Maintenant vous délirez
vous ne pensez qu'à moi
Bloquez sur ma voix
passez de vie a trépas
Je suis la Mort qui vous a cueilli
sans coup férir
vous et vos semblables
si seuls et pourtant si fourbes
je vous ai délivré
d'une existence misérable.
DEMENTIA
Faucon nocturne
Cavalier des dunes
Ombre vengeresse
Ta soif de haine
Te mène au combat
Eminent soldat
Mortelle
saillie
Insalubre issue
Duel sans merci
Le sang jaillit
cascade saillante
Ecume délirante
Ultime prophète
Aux mille conquêtes
De ton trône
Ta domination est totale
Maître
des sables
Implacable
Tout l'univers
Croupit sous ta bannière
Furie sonore
Fracas de roche
La montagne éventrée
Le Bouclier
Anéanti
La tempête sévit
Déferlante
hurlante
De tes léviathans
Sur la cité sacagée
Bataille sanglante
Défaite cinglante
Pour tes ennemis révulsés
Un infernal océan de flammes
Montagnes ocres, falaises déchiquetées
Meurtris par des tourbillons de lames
Etendues stériles, cadavres desséchés
Labyrinthe de visions cauchemardesque
Destinés sombres et destructrices
Humanité chutant dans un gouffre dantesque
Aucune issue, reste l'espoir de ton sacrifice
TOURMENTE HYSTERIQUE
Présage
funeste dissipant
La révélation impie
De ta perdition incestueuse
Jésus de Nazareth, l'égaré
" Oh père, ce sacrifice ne servira point ton dogme
"
Seul crucifié sur la croix
Le froid et la peur t'envahissent
La raison s'écroule de tes chairs
Une voie insoupçonnée s'ouvre à toi
" Oh père, ce sacrifice ne servira point ton dogme
"
Résurrection vampirique
Ta mission t'a rendu fou
Tes débauches nécrologiques
Sont la manne de tes fidèles
" Oh père, ce sacrifice ne servira point ton dogme
"
Les flammes de ton maître t'accueilleront
Dans un tumulte de fouets et de langues
Tes lamentations seront la risée
De toutes les âmes souillées par ton vice
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